Extraits de l'hebdomadaire La Dépêche du Bassin N° 846 du 9 au 15 août 2012:

L'ADPPM organise son assemblée générale .... L'occasion de faire le tour des dossiers brûlants scrutés de près par l'association... Et ils sont nombreux....

... Mais l'association regarde également plus loin que la station balnéaire testerine puisqu'elle suit de près le dossier de pollution d'eau Smurfit-Kappa, le processus de dépollution de la décharge d'Audenge, ainsi que le futur parc naturel marin du Bassin.

Dans l'édito de sa revue annuelle, le président de l'ADPPM écrit : " Notre qualité de vie reste exceptionnelle, et il faut mesurer la chance qui est la notre de pouvoir partager une vision et une passion pour un morceau de France qui laisse sans voix le visiteur d'occasion.
S'il est ainsi, c'est parce que nous avons eu le courage de le défendre contre l'urbanisation à outrance et la banalisation."
Enfin les problèmes liés au Pyla seront mis en lumière : maintien du couvert végétal, nuisances sonores, impact des animations, charte des établissements de nuit, hauteur des clôtures, style architectural, contrôle des travaux.......

Extraits de l'hedomadaire La Dépêche du Bassin N° 847 du 16 au 22 août 2012:

..." Nous avons évité le pire " avoue Jacques Storelli. Mais pour autant, si le président indique que tous les voyants sont au vert en ce qui concerne l'association, les enjeux restent nombreux.

Le couvert forestier par exemple. " Nous avons perdu la moitié de notre potentiel arboré depuis trente ans."

Ou encore l'homogénéité de l'architecture du Pyla. " Il existe une charte architecturale dans le plan local d'urbanisme mais nous aurions préféré quelque chose de plus règlementaire."
Puis, défendant " le devoir de veille de l'association ", le président aborde les actions judiciaires en cours. " Pour l'Etat, c'est plus facile de laisser les associations aller au charbon .... "...

... Après les problèmes pylatais, place aux affaires du Bassin. Et elles sont nombreuses. Le bureau évoque le parc naturel marin : " Il n'est pas là pour interdire mais pour rendre les usages et les usagers compatibles".
Puis, le second vice-président Hugues Legrix de la Salle développe les enjeux du futur Schéma de cohérence territoriale (Scot). " 40.000 logements soit 100.000 personnes de plus sur le Bassin, dans les vingt prochaines années, c'est effrayant ! On ne peut pas accueillir une telle population. Si on est au-delà de la capacité maximale d'accueil, le Bassin est perdu pour tout le monde. Nous mènerons ce combat notamment lors de l'enquête publique.".....

Notre analyse :

Où sont restées les questions sur les nuisances et les pollutions ??
Pourquoi le château reste-t-il en retrait sur les sujets d'actualité ??
L'intérêt particulier l'emporte-il toujours sur le général ??